Vous vous êtes probablement demandé si de light novels gagnaient bien leur vie. Alors, découvrons-le ensemble, car une émission japonaise a classé cette profession parmi les mieux rémunérées ! Discutons-en pour savoir si c'est bien vrai. Trêve de bavardages, passons aux faits :
Qu'est-ce qu'un Light Novel ?
Tout d'abord, pour ceux qui ne connaissent pas, expliquons brièvement ce que sont les light novels. Il s'agit essentiellement de livres légers, généralement destinés aux adolescents. De plus, comme les mangas, la plupart des light novels sont adaptés en anime. Parmi les light novels populaires, on peut citer Sword Art Online, la série Monogatari et Mushoku Tensei.
Écrivains de romans légers
Il convient de noter que, selon l'enquête de cette émission, la profession d'auteur de light novels se classe au premier rang, avec un salaire annuel de 80,85 millions de yens. De plus, cette profession est également classée deuxième en termes de consommation calorique et cinquième en termes de temps de consommation calorique !
Cependant, cette affirmation selon laquelle être auteur de romans d'amour est facile et bien rémunéré a suscité une vive controverse en ligne. Plusieurs auteurs ont exprimé leur indignation, comme l'éditeur Yoshinori Iwai, qui a écrit sur les réseaux sociaux : « Un revenu annuel moyen de 80 millions ? N'ont-ils pas ajouté deux zéros ? Eh bien, même si c'est une blague, c'est hors de question. Le marché du light novel est difficile. Il y a longtemps, lorsque j'ai discuté avec un éditeur de light novels, j'ai été surpris par les bas salaires qui y abondent. Alors je lui ai demandé : « Et comment font-ils pour vivre avec ça ? » Il m'a répondu : « Non, c'est pour ça que la plupart abandonnent avant 30 ans . »
Description du
produit彼は冷静に、 「いやだからほとんどが30歳越えると辞めるんです」
と答えた。忘れられない。 https://t.co/nW4qnUDHFL
– 岩井好典 (@iwai_beam) 22 janvier 2021
Alors, qu'en pensez-vous ? Je suis convaincu que les écrivains ne méritent pas tout ça, même les plus célèbres. Laissez un commentaire avec votre avis, et à la prochaine !
Source : Otakomu